Depuis 1989, Myanmar était le nom officiel depuis les récits de Marco Polo à compter du 13ème siècle.
Ce choix est plus équitable car il n'identifie pas la nation à un groupe ethnique donné. Pourtant, des disparités énormes existent encore entre communautés non reconnues et font depuis longtemps la une de l’actualité.
La Birmanie sort depuis 2011 d'un long "sommeil" qui n'a que trop duré. L'arrivée massive d'investisseurs étrangers a changé la donne d'un pays "mis à genoux" par 50 années de dictature militaire.
Aujourd’hui, la Birmanie a soif de liberté et de renouveau que la jeunesse s'empresse de crier haut et fort à qui veut l’entendre.
L’ouverture au reste du monde, l'arrivée de biens venus de l'occident sont des accélérateurs de cette liberté toute relative.
Seulement voilà, tout reste à faire dans ce pays ou traditions et religion n'ont cessé d'être, durant près d'un millénaire, les seuls repaires de références. Conjuguer l'avenir sans renier les origines, une tâche qui s'avère complexe mais pas irréalisable, tel est l'actuel véritable défit du peuple Birman.