Dans la série Mémoire, cet entretien avec Jésus Raphael Soto, mené par Daniel Abadie dans son atelier au Vénézuela, ponctué d'œuvres et de documents d'archives, explore la densité de son œuvre dans ses dimensions sonore et plastique, notamment avec les fils de fer soudés, les assemblages, les « Vibrations immatérielles » et les « Pénétrables » qui ouvrent la représentation de l'espace sur le mouvement et l'aléatoire, tout en s'inscrivant dans la continuité de l’impressionnisme.
Soto a reçu le Grand Prix national de la sculpture en 1995.