Catalogue - recherche : Conflits

La guerre du point de vue des chevaux. Voilà l’idée originale de ce documentaire. Il nous raconte, d’un conflit à l’autre, l’histoire de ces percherons et pur-sang, patrimoine si convoité de la Basse Normandie.

Vivre avec la peur, tel est le sort des Con­go­lais du Nord-Katanga depuis des années. Après la fin offi­cielle de la guerre entre la RDC et les occu­pants rwandais en 2002, mil­i­taires et groupes de résis­tants con­go­lais ont retourné leurs armes con­tre les civils.
 

Daniele von Arb a 16 ans lorsque en 1970, il fonde une cellule révolutionnaire à Zurich qui apparaîtra plus tard dans l’organigramme du terrorisme international de la CIA sous le nom de code «Annebäbi». La cellule est en contact avec les principaux groupes terroristes, jusqu’à ce qu’elle se fasse arrêter lors de sa tentative d’attentat contre le Schah d’Iran.

A l’occasion de la dixième Conférence internationale de la Croix-Rouge qui se tient à Genève du 30 mars au 7 avril 1921, le CICR produit 4 films qu’il commande à ses délégations de Narva et Stettin, Varsovie, Budapest et Constantinople. Ces films des débuts du cinéma humanitaire traitent des problèmes laissés sans solution par la première Guerre mondiale.

La légende des "Inong Bale", les femmes veuves guérilleros d''Indonésie, remonte au XVIIe siècle.
Pendant plus de trente ans, elles ont vu leurs proches assassinés par les militaires.

Des pièces de métal rouillées perdues en plein champ, un pan de mur criblé de balles dressé sur une colline... Des traces... Traces muettes de la Première Guerre mondiale. Ces traces prennent sens au regard d’un journal, d’une voix, celle de Lucien Laby, médecin, soldat dans les tranchées...

La Carélie, étroite bande de terre que se partage la Russie et la Fin­lande, a connu une his­toire mou­ve­men­tée. Elle fut le théâtre de nom­breux con­flits entre les Fin­landais qui voulaient préserver l’intégralité de leur ter­ri­toire et les Sovié­tiques, ani­més par une volonté de con­quête.

Dans ses nuits blanches, Shida dessine inlassablement les portraits de ses cinq fils portés disparus. Comme des milliers de femmes de Srebrenica, elle vit à travers ses rêves et participe aux manifestations pour demander que justice soit rendue.

Août 1999, ma compagne photographe remarque un homme dans un hôpital. Le jour de l’éclipse solaire, elle retrouve cet homme dans la foule et le photographie avec son accord. Parmi ses photographies, un visage souriant se détache : celui de Jean-Pierre, Rwandais.
 

À l’Est de Jerusalem, la construction du mur de séparation se poursuit à quelques mètres d’un hospice pour vieillards. Sa progression inéluctable et spectaculaire, sous les yeux des pensionnaires, les isole chaque jour un peu plus du monde des vivants...