Brest 1950. La ville est en pleine reconstruction après les bombardements de la guerre. Le 17 avril, lors d’une manifestation, la situation avec les forces de l’ordre dégénère. La police, dépassée par l’ampleur du mouvement, tire sur la foule, et le jeune ouvrier Edouard Mazé est abattu d’une balle en pleine tête.