Catalogue Longs métrages

L'histoire d'un jeune étudiant en mathématiques, féru d'alpinisme, en butte aux tracasseries et mesquineries de ses semblables et finalement frappé par le sort en tuant, accidentellement un enfant.

Son père dans le coma, Laura ose enfin régler ses comptes avec celui qui a massacré son enfance. Elle se croit prête à cette épreuve, qui va engendrer des retrouvailles douloureuses avec sa famille et son passé. Elle en sortira réconciliée avec elle-même et avec la vie.

1847. Nous sommes en pleine révolution industrielle. Une jeune journaliste aristocrate parisienne se rend sur une île bretonne pour enquêter sur le fonctionnement d'un centre de rééducation de jeunes délinquants. Le directeur du centre tente d'appliquer des méthodes familiales pour éduquer ses « enfants ». Mais l'injustice qui a prévalu aux condamnations de ces derniers les pousse à se révolter, à l'occasion de la traditionnelle fête annuelle et de penser de nouvelles règles pour la communauté.

Dans Sous la Peau de la Ville, immense succès dans son pays, la réalisatrice Rakhshan Bani-Etemad brosse le portrait sans concession d’une famille des quartiers populaires de Téhéran.

Dans une petite ville du Brésil, Vadinho, mari de Dona Flor, amant de la vie de bohème, du jeu et des femmes, meurt soudain en plein Carnaval. Dona Flor se remarie avec un très sérieux pharmacien, avec qui elle mène une vie paisible.
Mais l’érotisme de son premier mari commence à lui manquer et elle est bientôt surprise par le fantôme de Vadinho qui revient pour la séduire. La belle Dona Flor va alors vivre avec deux maris.

Mamie et Shiku, deux jeunes Africaines. Presque adultes. L’une a 17 ans, l’autre 13. Ces deux réfugiées mineures, arrivées en Angleterre pour trouver une vie meilleure, se lient d’amitié. Mais bientôt, les déboires administratifs et policiers vont les séparer . Mamie devient clandestine tandis que la famille d’accueil de Shiku en fait une bonne à tout faire. Le film raconte alors comment le courage de Mamie leur permettra peut-être d’avoir un avenir...

Prague, pendant la seconde guerre mondiale. Progressivement, l’étau nazi se resserre autour de la communauté juive. Pour tenter de sauver de la déportation la jeune doctoresse Hanna Kaufmannova, dont il est très amoureux, le docteur Antonin Bures, non juif, l’épouse. Mais la persécution s’abat sur la famille dont les membres sont envoyés à Terezin, misérable ghetto où ils attendant d’être transférés vers les camps de la mort...

Les Mots Perdus met en scène des non-comédiens aphasiques qui jouent leur propre rôle. À ces non-professionnels se sont joints quelques comédiens de métier. C’est dans l’expression même des aphasiques que réside la réussite de cette fiction, qui nous entraîne de façon touchante, et par le biais de l’humour, dans la prison de cette maladie. Ce film réussit un double exploit : familiariser le public avec ce handicap et redonner la parole à ceux qui l’ont perdue.

Cinq ans après sa fuite d’Algérie, Adda, jeune mère ravissante, vit au 17 rue Bleue à Paris, avec ses deux fils et ses deux sœurs. Elle est la maitresse de Merlin, un homme marié qui est aussi son patron. Il lui assure une situation matérielle confortable et lui fait des promesses de bonheur. Mais quand il meurt brutalement, leur destin bascule...

Dans le Londres des années 70, nous assistons à la construction médiatique d'une pop-star (rôle tenu par le chanteur britannique Paul Jones), le réalisateur Peter Watkins mettant en avant l'hystérie religieuse qui se noue entre le jeune homme et son public, et l'instrumentalisation de sa figure par les autorités politiques, audiovisuelles et ecclésiastiques, afin d'atténuer toute possibilité de révolte des jeunes.