Catalogue Longs métrages : Cinéma français

Nathalie est professeur de philosophie dans un lycée parisien. Passionnée par son travail, elle aime par-dessus tout transmettre son goût de la pensée. Un jour, son mari lui annonce qu’il part vivre avec une autre femme. Confrontée à une liberté nouvelle, elle va réinventer sa vie.

Déjà reconnu pour ses rôles dans La Chienne ou L'Atalante, Michel Simon est remarquable dans la peau d'un comte déclassé. Critique sociale acerbe, Le Ruisseau dénonce avec finesse la pauvreté et la condition des femmes de l'époque vivant dans les cabarets ou dans la rue.

Remarqué par un inconnu pour ses exploits face à un lutteur de fête foraine à Neuilly, Georget se lance dans une carrière de boxeur où il y connaîtra le succès, délaissant son amie Mariette pour des plaisirs frivoles.

Le célèbre ténor italien Enrico Ferraro cumule les succès. Mais épuisé par sa vie et sans cesse bousculé par une manager despotique, il décide de fuguer en Italie.

Début des années 90. Alors que le sida tue depuis près de dix ans, les militants d'Act Up-Paris multiplient les actions pour lutter contre l'indifférence générale. Nouveau venu dans le groupe, Nathan va être bouleversé par la radicalité de Sean.

Vietnam – 1946. Philippe s’est engagé pour pacifier un pays inconnu fait de forêts denses et de montagnes spectaculaires. Ses idéaux s'effondrent lorsqu’il comprend qu’il doit torturer et tuer une jeune rebelle vietminh qui lutte pour son indépendance.

Adapté du livre autobiographique de Abd Al Malik, Qu’Allah bénisse la France raconte le parcours de Régis, enfant d’immigrés, noir, surdoué, élevé par sa mère catholique avec ses deux frères, dans une cité de Strasbourg.

Arthur a vingt ans et il est étudiant à Rennes. Sa vie bascule le jour où il rencontre Jacques, un écrivain qui habite à Paris avec son jeune fils. Le temps d’un été, Arthur et Jacques vont se plaire et s’aimer.

Homme de théâtre, acteur, écrivain, créateur insatiable, Roger Planchon se retrouve derrière la caméra en 1978. Spécialiste du XVIIème siècle, il adapta d’abord Dandin de Molière, ensuite une grande fresque historique Louis enfant roi et enfin Lautrec où il brosse un tableau haut en couleur de la société parisienne à la fin du XIXème siècle.

Thomas accepte de mourir. C’est ici dans la maison au bord de l’océan, la maison de l’enfance, qu’il choisit d’attendre de mourir. Je suis auprès de lui. C’est encore l’été. J’ignorais qu’on pouvait mourir en été.