Catalogue produit en “1991”

Au XVème siècle, l'amour de trois jeunes gens que la jalousie, puis la lèpre séparent. Une adaptation éblouissante de la pièce maîtresse de Paul Claudel.

Luciano, un jeune professeur de lettres est convoqué à Rome par le Ministre de l'Industrie, Cesare Botero, qui lui propose de rédiger ses discours. D'abord enchanté de cette place en or, Luciano découvre peu à peu le caractère de son patron.

Ce film est consacré à Richard Texier, peintre contemporain qui définit sa peinture comme une aventure spatiale.

Au cœur de la campagne irlandaise, sous l'œil attentif du professeur d'archéologie Colin Renfrew, Andy Goldsworthy réalise des œuvres éphémères et les photographie.

Un court-métrage d'Eric Pinatel.
Avec Philippe Suner et Valérie Suner

À la douceur de la vie colo­niale s’opposent la mis­ère rurale et la soumis­sion for­cée des Anna­mites. Mais la révolte gronde con­tre l’occupant français. Elle s’organise dans la jun­gle autour du Viêt-Minh. Après Hiroshima, le Viêt-Minh prend le pou­voir et Hô Chi Minh proclame l’indépendance.

Une série unique de 5 épisodes con­sacrée à l’univers de la Salsa et ses orig­ines. Un voy­age musi­cal sur le con­ti­nent Améri­cain de New-York à Cuba en pas­sant par la Colom­bie, Puerto Rico et le Venezuela.
La Salsa n’existe pas, c’est du Son, de la musique cubaine traditionnelle.

Une série unique de 5 épisodes con­sacrée à l’univers de la Salsa et ses orig­ines. Un voy­age musi­cal sur le con­ti­nent Améri­cain de New-York à Cuba en pas­sant par la Colom­bie, Puerto Rico et le Venezuela.
Puerto Rico : ce grand réservoir de l’émigration New Yorkaise.

Une série unique de 5 épisodes con­sacrée à l’univers de la Salsa et ses orig­ines. Un voy­age musi­cal sur le con­ti­nent Améri­cain de New-York à Cuba en pas­sant par la Colom­bie, Puerto Rico et le Venezuela.
La Salsa à New York est une musique profondément latine.

Mohamed Abdelwahab est le compositeur arabe le plus prolixe du XXe siècle. En 70 ans de carrière, il a composé plus de 1000 chansons à succès et en a chanté des centaines. Le président Sadate lui avait confié l’orchestration de l’hymne national égyptien et l’avait élevé au grade de général. Tous les soirs, le Général Abdelwahab apparaissait sur les écrans pour clore en fanfare les programmes de la télévision. Mais sous l’uniforme d’apparat et les honneurs officiels se cachait un immense artiste, provocateur et inclassable.